Articles

Discrimination : Paniquée par les éléments accablants apportés par la Ville de Beaucaire, Carole Delga demande un report d’audience

En avril dernier, la Ville de Beaucaire déposait une plainte à l’encontre de Carole Delga pour discrimination envers la commune à raison des idées politiques de son Maire.

Face à un dossier accablant présenté par l’avocat de la Ville de Beaucaire, le conseil de Carole Delga a demandé et obtenu le report de l’audience prévue aujourd’hui mardi 28 février au Tribunal Correctionnel de Nîmes au 3 octobre 2017.

Cette demande de report pour gagner du temps, alors que la présidente du conseil régional d’Occitanie a déjà eu 10 mois pour préparer sa défense, prouve que l’élue n’est pas sereine. Et pour cause : les éléments apportés par la commune démontrent clairement la discrimination dont Beaucaire est victime.

Le Maire de Beaucaire, qui ne s’étonne même plus de l’absence de Carole Delga à l’audience, montrant là son mépris pour l’institution judiciaire, est déterminé à aller jusqu’au bout de cette procédure et rappelle que la discrimination est un délit passible d’une peine d’emprisonnement de 3 ans et de 45.000 euros d’amende pour les personnes physiques et qu’elle est plus sévèrement sanctionnée quand elle est commise par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public (peine d’emprisonnement de 5 ans et 75.000 euros d’amende).

VIDEO – Beaucaire candidate pour un lycée d’enseignement général

En 2015, le conseil régional Languedoc-Roussillon faisait savoir qu’il allait construire un lycée d’enseignement général dans le Gard.
Une semaine plus tard, la Ville de Beaucaire, 4e ville du Gard et première ville gardoise en nombre d’habitants à ne pas avoir de lycée général, réunissait un conseil municipal pour candidater la première.
Aujourd’hui, la Présidente du Conseil Régional ou son Vice-président se sont rendus dans toutes les villes candidates pour examiner les sites proposés… sauf à Beaucaire !
Une attitude clairement discriminatoire.

Carole Delga refusant par ailleurs depuis plus d’un an de rencontrer le Maire de Beaucaire et assumant clairement ce refus qui ne l’honore pas et qui fait honte à notre démocratie, la Ville de Beaucaire publie aujourd’hui une vidéo pour défendre le lycée général à Beaucaire car la candidature de Beaucaire est tout simplement et objectivement la plus légitime et la meilleure.

La Ville de Beaucaire rappelle que Carole Delga comparaîtra demain mardi 28 février 2017 au Tribunal Correctionnel de Nîmes, poursuivie pour discrimination par la Ville de Beaucaire qui n’entend pas se laisser discriminer pour de basses raisons politiques.
Les enfants de Beaucaire ne doivent pas être pris en otage par la politique politicienne !

Jeunes, parents d’élèves, acteurs économiques, élus de Beaucaire mais aussi élus de communes limitrophes témoignent avec leurs mots leur soutien à la candidature de Beaucaire, au-delà des idées politiques.

Après la vidéo sur la Halte SNCF de Beaucaire et sa desserte insuffisante en transports régionaux, cette vidéo sur l’indispensable lycée d’enseignement général à Beaucaire est la deuxième que diffuse la Ville à destination du Conseil Régional.
La Ville de Beaucaire continuera à procéder de cette façon puisqu’il semble depuis plus d’un an impossible d’approcher la Présidente du Conseil Régional pour lui parler posément des projets concrets souhaités ou portés par la municipalité de Beaucaire (halte SNCF, lycée d’enseignement général, soutien de la région aux investissements dans les quartiers prioritaires de Beaucaire comme la réhabilitation de l’école Nationale, principale école du quartier prioritaire du centre-ville menée par la Ville dès 2017 pour 3 millions d’euros, soutien à la mise en accessibilité des bâtiments publics aux personnes à mobilité réduite, intégration de Beaucaire dans les “grands sites”, amélioration du centre bourg, etc.).

Carole Delga avait promis en décembre 2015 d’être la Présidente de tous les habitants de la Région.
Beaucaire, le Gard et l’ex Languedoc-Roussillon font-ils vraiment partie de La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée ? Et ont-ils aujourd’hui une Présidente ? 

 
 

Beaucaire discriminée par le conseil régional : Les internautes disent STOP.

4 jours après sa diffusion, la vidéo du Maire de Beaucaire sur la halte SNCF de la 4e ville du Gard suscite l’indignation.

Déjà plus de 220 000 personnes ont été atteintes par cette publication sur Facebook (qui a été partagée plus de 1000 fois) et ont été scandalisées par le refus anti républicain de la Présidente du Conseil Régional de rencontrer Julien Sanchez depuis 1 an alors que Damien Alary (ancien Président du Conseil Régional) ou Denis Bouad (actuel Président du Conseil Départemental) ont déjà rencontré et reçu le Maire de Beaucaire par le passé sans partager pour autant ses idées politiques.
La Ville de Beaucaire remercie les milliers d’internautes lui ayant envoyé des courriels ou des messages sur Facebook suite à la diffusion de cette vidéo.
Nous remercions toutes les personnes qui, quelle que soit leur appartenance politique, se sont exprimées pour juger indigne le comportement sectaire et partisan de la Présidente du Conseil Régional d’Occitanie.
La Ville de Beaucaire invite chacun à rappeler à la Présidente du Conseil Régional qu’elle se doit d’être la Présidente de tous les habitants, sans discrimination.
A lui rappeler qu’il est inadmissible de refuser de rencontrer un élu parce qu’il a une appartenance politique différente.
Ces réflexes d’apartheid politique, qui nous rappellent les heures les plus sombres de l’Histoire, sont indignes d’une démocratie et c’est la raison pour laquelle le Maire de Beaucaire va continuer dans les prochaines semaines à interpeller la Présidente du Conseil Régional dans des vidéos thématiques (faute de pouvoir la rencontrer depuis 1 an, ce qui aurait été préférable pour chacun), avant de l’affronter au TGI de Nîmes, la Ville de Beaucaire ayant déposé plainte contre Carole Delga pour discrimination à raison des idées politiques.
En attendant, la Ville de Beaucaire invite chacun à partager sa première vidéo sur les réseaux sociaux ou par courriel pour montrer le vrai visage de la Présidente du Conseil Régional : le visage du sectarisme et de la haine au détriment des citoyens et du service public.
A défaut d’avoir en elle le sens de l’intérêt collectif, l’indignation populaire et la honte liée pousseront peut-être cet ancien Ministre à agir pour son territoire.
La discrimination est un fléau, tous ensemble, nous en viendrons à bout !
Delga-SNCF-220000

Ville de Beaucaire contre 6 commerces nocturnes : Point sur l’audience du 22 septembre au Tribunal

Jeudi 22 septembre avait lieu le procès de Julien Sanchez, ès qualité de Maire de Beaucaire, poursuivi par 6 commerçants suite aux arrêtés municipaux de juin 2015, interdisant l’ouverture des commerces dans certains secteurs de la ville au-delà de 23h00. Ces 6 commerçants, soutenus par l’observatoire de l’islamophobie et le Conseil Français du Culte Musulman, ont attaqué le Maire pour une prétendue islamophobie à travers les arrêtés municipaux alors que ceux-ci concernent l’ensemble des magasins des secteurs concernés.
L’avocate des commerçants a tenu une plaidoirie de quelques minutes, sans véritable fond, quand le Maire et son avocate ont défendu la commune longuement, avec un dossier sérieux, travaillé et imparable.

Alors que l’avocate des parties civiles n’a apporté aucune preuve de discrimination, alors que le SRPJ a indiqué dans son rapport que le délit de discrimination n’était pas constitué, il a été rappelé par le Maire que dans les rues concernées par les arrêtés, il n’existe pas seulement ces 6 commerces mais plus d’une trentaine de commerces. Il a été rappelé également que d’autres commerces musulmans existent dans ces rues et ne se sont pas retournés contre le Maire car, eux, ont des horaires normaux qui n’occasionnent aucune gêne pour la population.
Julien Sanchez a réaffirmé devant les magistrats qu’il était de son devoir de Maire de veiller à la tranquillité publique et a dénoncé la victimisation insupportable des 6 commerçants, expliquant que la seule discrimination dans cette affaire était la discrimination politique envers un Maire adhérent du Front National.
Après avoir évoqué le fait divers de cet été (un Beaucairois, excédé par les nuisances nocturnes devant l’un de ces commerces, avait tiré sur des jeunes rassemblés devant ce commerce, après leur avoir demandé de se calmer et s’être fait insulter), il a rappelé que ses arrêtés avaient été pris précisément pour éviter ce type de faits divers et indiqué qu’il craint que d’autres habitants ne fassent la même chose car ils sont excédés de subir ces nuisances, quelques commerçants ne respectant par les arrêtés car ils se sentent couverts par la justice et par l’Etat qui n’envoie aucun policier d’Etat pour faire fermer les commerces (la police municipale n’ayant que la prérogative de constater le non respect de l’arrêté et de dresser PV).
Le Maire de Beaucaire a conclu en indiquant au juge que l’enjeu de cette affaire était important : soit la justice reconnaît un droit supérieur à ces 6 commerçants parce qu’ils se présentent comme musulmans, soit la justice réaffirme le principe fondamental de tranquillité publique.
Quoiqu’il arrive, il est évident que la discrimination n’est absolument pas constituée.
L’affaire a été mise en délibéré au jeudi 15 décembre 2016 à 14h00 au tribunal de Nîmes.

Lire la suite

Nuisances nocturnes devant les commerces : Ce qui devait arriver arriva !

Le Maire de Beaucaire tient à remercier et à féliciter pour leur professionnalisme les forces de l’ordre (policiers municipaux et nationaux) intervenues ce jeudi 18 août alors qu’un Beaucairois, semble-t-il excédé par le tapage nocturne causé par un groupe de jeunes devant une épicerie, a ouvert le feu.

Les premières constatations semblent établir que l’arme utilisée serait une carabine à plomb.

L’individu ayant ouvert le feu a bien évidemment été interpellé (plusieurs jeunes menaçant de s’en prendre à lui après les tirs).

Si ce fait divers est tragique, et si personne ne doit se faire justice soi-même, le Maire de Beaucaire n’est pas du tout étonné par ces faits. Il les avait même prévus et anticipés il y a plus d’un an.

En juin 2015, il avait en effet signé un arrêté ordonnant à un certain nombre de commerces situés dans des petites rues étroites et résidentielles de fermer à 23h00 (dont précisément la rue comportant le commerce devant lequel s’est déroulé cet incident cette nuit vers 22h30).
Le Maire avait alors subi les foudres d’associations communautaristes, du conseil français du culte musulman, d’opposants politiques et de médias.

L’arrêté municipal avait ensuite été attaqué en justice par 6 commerçants prétendant qu’il n’y avait aucune nuisance devant leur commerce et que la motivation du Maire serait la discrimination.

Au contraire, on le voit concrètement ce soir, le Maire de Beaucaire avait simplement souhaité protéger chacun de ce type de drame en faisant respecter l’ordre public et en assurant la tranquillité pour les riverains, des honnêtes gens qui ont droit au sommeil.

À ce jour, la justice n’en a toujours pas terminé avec cette procédure et le Maire de Beaucaire sera à nouveau au Tribunal le 22 septembre pour islamophobie après que le SRPJ a été envoyé en Mairie pour une enquête complémentaire afin de savoir s’il y avait bien des plaintes de riverains pour des nuisances nocturnes.

Le Maire de Beaucaire tire à nouveau ce soir la sonnette d’alarme : Quand, enfin, la justice reconnaîtra-t-elle qu’avec ce type d’arrêtés, un Maire est dans son rôle ?
Les commerçants pourront-ils à nouveau après cet incident prétendre que les nuisances n’existent pas ?

En attendant que la justice valide les arrêtés municipaux du Maire et que l’Etat apporte le concours de la police nationale pour les faire appliquer, le Maire de Beaucaire souhaite un prompt rétablissement aux personnes blessées et appelle chacun à désormais respecter la tranquillité publique pour que ce type de drame ne se reproduise pas.

Dès ce vendredi 19 août, un nouvel arrêté tranquillité publique sera pris, interdisant cette fois l’ouverture des commerces dans ces rues après 22h30.
Dans l’intérêt de tous, il enjoint cette fois les commerçants concernés à ne pas se victimiser, à respecter les arrêtés et à faire preuve de responsabilité vis-à-vis de leur clientèle pour que la tranquillité et la sécurité publiques soient assurées.