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Police Municipale de Beaucaire : 24 nouvelles caméras et un nouveau poste de police

En décembre dernier, le conseil municipal actait l’acquisition, par la ville, de l’ancien commissariat de Police Nationale, chemin des Romains. La ville est devenue officiellement propriétaire courant 2019, après signature chez le notaire.
Cet été, des travaux importants s’y sont déroulés et le poste est désormais flambant neuf.
Ainsi, en raison notamment de l’augmentation des effectifs de Police Municipale (passés de 13 en 2014 à 23 aujourd’hui, et 25 prochainement), les locaux de la Police Municipale actuels étant devenus trop petits, cet ancien commissariat de Police Nationale pourra accueillir dans les prochaines semaines le nouveau poste de Police Municipale et le tout nouveau centre de vidéo-surveillance (et son matériel neuf, puisque ce sont près de 600.000 euros qui ont été injectés pour mettre au goût du jour et étendre le système).

Pour la vidéo-surveillance :
– Les 8 nouvelles caméras seront opérationnelles d’ici 15 jours, portant ainsi leur nombre à 51
– Les travaux de modernisation du réseau de vidéosurveillance (installation de la fibre optique notamment) seront terminés sous 15 jours
– D’ici la fin de l’année, 10 caméras supplémentaires et 6 systèmes de filtrage par lecture de plaques minéralogiques seront par ailleurs ajoutés en plus de celles prévues, portant ainsi le nombre de caméras à 67 (cette année, le nombre de caméras aura donc été augmenté de 24, soit 56% en plus)

Pour le futur nouveau poste de Police Municipale, chemin des Romains, les avantages seront les suivants :
– Locaux plus grands, adaptés à la hausse des effectifs (effectifs : 23 policiers, 10 agents au centre de vidéo et 2 secrétaires)
– Situation géographique centrale permettant des interventions plus rapides (le chemin des Romains étant à double sens, contrairement à la rue Nationale)
– Centralité du chemin des Romains vu l’urbanisation de la ville
– Locaux permettant le stationnement des véhicules d’intervention (plus nombreux puisque plus d’effectifs)
– La localisation du poste ne diminuera évidemment pas la présence des policiers (leur vocation étant d’être sur le terrain et pas dans des bureaux, quelle que soit leur localisation).

La prise de possession de l’ancien poste de Police Nationale par la Police Municipale est un symbole fort.

Pour le poste de Police Municipale actuel :
– Ces locaux seront utiles à la ville dans le cadre de la réhabilitation-extension de l’école Nationale. L’école élémentaire Nationale (qui va absorber l’école maternelle du Château et les enfants de Sud Canal) va passer de 150 à 450 élèves, elle va donc s’agrandir sur la police municipale et les locaux de la médecine scolaire.

Une Police Municipale dynamique :
– Depuis 2014, la municipalité a quasiment doublé les effectifs et aussi augmenté les moyens matériels de la Police Municipale. Il y a donc hausse des moyens humains et matériels. La sécurité est une priorité budgétaire et nos résultats sont bons et soulignés par le Préfet du Gard.
– La Police Municipale tourne désormais 24h/24 à Beaucaire, ce qui est le cas de très très peu de villes de 16 000 habitants.
– La Police Municipale procède à l’essentiel des interpellations et mises à disposition sur la ville de Beaucaire et travaille en lien étroit avec la police nationale

Les efforts importants de la municipalité portent leurs fruits.
Les chiffres de la délinquance à Beaucaire (chiffres officiels Préfecture) entre 2014 et 2018 (dernière année complète connue) sont très encourageants :
– Moins 44,44% de cambriolages
– Moins 45,71% de vols avec violence
– Moins 49,24% de destruction de biens

Ces nouvelles conditions de travail et l’amélioration du réseau de vidéosurveillance permettront d’améliorer encore le dispositif de sécurité et la sécurité des Beaucairois

Beaucaire : L’opposition hystérique (élus et public) perturbe le bon déroulement du Conseil Municipal

Ce mardi 14 mars au soir se tenait à Beaucaire un Conseil Municipal pour l’approbation du compte administratif et le vote du budget primitif de la Ville, moment important dans la gestion d’une collectivité.

Agacé par les bons résultats budgétaires de la municipalité, dépité de ne pas avoir d’argument valable à opposer à Julien Sanchez, et n’ayant toujours pas accepté de ne pas avoir été élu Maire de Beaucaire en 2014, M. Christophe André (élu d’opposition des Républicains) a d’abord diffamé publiquement et de manière réitérée le Maire de Beaucaire pendant la séance avant d’injurier des employés municipaux (et notamment une jeune femme de 24 ans) à l’occasion d’une suspension de séance, les traitant de “larbins” devant témoins, refusant ensuite de s’excuser envers eux suite à la demande du Maire à la reprise de la séance.

M. Christophe André a également à plusieurs reprises tenté d’entraver le bon déroulement du Conseil Municipal (organe délibérant) en se mettant debout en dehors de sa place dans l’assemblée à plusieurs reprises pour y intervenir, en déplaçant du matériel municipal et en se rapprochant de la tribune où se tenait le Maire en tentant de couvrir la voix du Président de l’assemblée à de nombreuses reprises.

Par son attitude provocatrice, hystérique, irrespectueuse et infantile, M. Christophe André a contribué à créer un climat délétère et contribué à favoriser un trouble à l’ordre public, plusieurs membres du public (politisés) intervenant oralement et commentant les débats à voix haute, ce qui est interdit, seuls les élus (de la majorité et de l’opposition) devant pouvoir s’exprimer dans un Conseil Municipal qui est une institution républicaine.

Après avoir tenté pendant la suspension de séance de dialoguer avec plusieurs membres de l’opposition et même avec M. Christophe André, et voyant que celui-ci et que les personnes du public concernées persistaient à refuser de respecter la bonne tenue des débats, Monsieur le Maire a informé des faits Monsieur le Préfet du Gard.
À la reprise de la séance, conformément au code général des collectivités territoriales, 3 élus en plus du Maire ont demandé à ce que le Conseil se tienne à huis clos, un vote à la majorité confirmant ce choix.

Plusieurs membres du public (politisés) refusant de quitter les lieux malgré le huis clos, de même que la presse locale, le Maire a dû suspendre à nouveau la séance et requérir l’intervention de la force publique.

La police nationale est alors intervenue pour faire respecter le huis clos décidé conformément aux textes par la majorité absolue du Conseil Municipal (en vertu du code général des collectivités territoriales).

Le Conseil Municipal a pu se poursuivre en présence des élus de la majorité et de plusieurs élus d’opposition restés jusqu’au bout du Conseil par respect des institutions et du mandat qui leur a été confié par les électeurs, plus intéressés par les débats pour leur Ville que par la politique politicienne et la basse tentative de destabilisation du Conseil Municipal.

M. Christophe André n’en étant pas à son coup d’essai, et celui-ci ayant refusé de s’excuser, la Ville de Beaucaire déposera dans les prochaines heures plusieurs plaintes à l’encontre de celui-ci pour son attitude d’obstruction ayant généré des troubles et une entrave à la bonne tenue des débats d’une institution républicaine (en mobilisant qui plus est des effectifs de police nationale qui ont mieux à faire), mais aussi pour diffamation à l’encontre du Maire dans l’exercice de ses fonctions.

Il est détestable que des élus et des citoyens majeurs puissent agir de la sorte. Cela ne grandit pas la politique.
Ces attitudes n’empêcheront pas les élus de la majorité municipale d’avancer pour le développement de Beaucaire et l’intérêt général de la Ville auxquels ils travaillent 365 jours par an.

Les élus de Beaucaire soutiennent les Policiers en colère

Dans toutes les villes de France dotées d’un commissariat de police nationale, les policiers manifestent depuis plusieurs jours (fait extrêmement rare) pour dénoncer leurs conditions de travail, les atteintes physiques de plus en plus graves commises à leur endroit ainsi que le manque de soutien de l’Etat.

Ce mercredi 26 octobre à midi, le Maire de Beaucaire, de nombreux élus de la majorité municipale, des agents de la Police Municipale de Beaucaire et des citoyens étaient présents devant le commissariat de Police Nationale de Tarascon-Beaucaire pour soutenir les policiers dans leur combat.

Nos policiers ne doivent plus être des cibles.
A l’heure où, en France, la délinquance est de plus en plus armée et de moins en moins incarcérée, nos policiers doivent pouvoir bénéficier de la présomption de légitime défense.

La suppression de plus de 12 500 postes de policiers et gendarmes sous le mandat de l’ancien Président de la République, le manque de moyens et de soutien et la politique pénale désastreuse actuels ont également été dénoncés à travers ce rassemblement qui s’est terminé par une Marseillaise devant le commissariat et par une marche dans Tarascon, Beaucaire n’ayant plus depuis de nombreuses années de commissariat de police nationale.

Ville de Beaucaire contre 6 commerces nocturnes : Point sur l’audience du 22 septembre au Tribunal

Jeudi 22 septembre avait lieu le procès de Julien Sanchez, ès qualité de Maire de Beaucaire, poursuivi par 6 commerçants suite aux arrêtés municipaux de juin 2015, interdisant l’ouverture des commerces dans certains secteurs de la ville au-delà de 23h00. Ces 6 commerçants, soutenus par l’observatoire de l’islamophobie et le Conseil Français du Culte Musulman, ont attaqué le Maire pour une prétendue islamophobie à travers les arrêtés municipaux alors que ceux-ci concernent l’ensemble des magasins des secteurs concernés.
L’avocate des commerçants a tenu une plaidoirie de quelques minutes, sans véritable fond, quand le Maire et son avocate ont défendu la commune longuement, avec un dossier sérieux, travaillé et imparable.

Alors que l’avocate des parties civiles n’a apporté aucune preuve de discrimination, alors que le SRPJ a indiqué dans son rapport que le délit de discrimination n’était pas constitué, il a été rappelé par le Maire que dans les rues concernées par les arrêtés, il n’existe pas seulement ces 6 commerces mais plus d’une trentaine de commerces. Il a été rappelé également que d’autres commerces musulmans existent dans ces rues et ne se sont pas retournés contre le Maire car, eux, ont des horaires normaux qui n’occasionnent aucune gêne pour la population.
Julien Sanchez a réaffirmé devant les magistrats qu’il était de son devoir de Maire de veiller à la tranquillité publique et a dénoncé la victimisation insupportable des 6 commerçants, expliquant que la seule discrimination dans cette affaire était la discrimination politique envers un Maire adhérent du Front National.
Après avoir évoqué le fait divers de cet été (un Beaucairois, excédé par les nuisances nocturnes devant l’un de ces commerces, avait tiré sur des jeunes rassemblés devant ce commerce, après leur avoir demandé de se calmer et s’être fait insulter), il a rappelé que ses arrêtés avaient été pris précisément pour éviter ce type de faits divers et indiqué qu’il craint que d’autres habitants ne fassent la même chose car ils sont excédés de subir ces nuisances, quelques commerçants ne respectant par les arrêtés car ils se sentent couverts par la justice et par l’Etat qui n’envoie aucun policier d’Etat pour faire fermer les commerces (la police municipale n’ayant que la prérogative de constater le non respect de l’arrêté et de dresser PV).
Le Maire de Beaucaire a conclu en indiquant au juge que l’enjeu de cette affaire était important : soit la justice reconnaît un droit supérieur à ces 6 commerçants parce qu’ils se présentent comme musulmans, soit la justice réaffirme le principe fondamental de tranquillité publique.
Quoiqu’il arrive, il est évident que la discrimination n’est absolument pas constituée.
L’affaire a été mise en délibéré au jeudi 15 décembre 2016 à 14h00 au tribunal de Nîmes.

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Nuisances nocturnes devant les commerces : Ce qui devait arriver arriva !

Le Maire de Beaucaire tient à remercier et à féliciter pour leur professionnalisme les forces de l’ordre (policiers municipaux et nationaux) intervenues ce jeudi 18 août alors qu’un Beaucairois, semble-t-il excédé par le tapage nocturne causé par un groupe de jeunes devant une épicerie, a ouvert le feu.

Les premières constatations semblent établir que l’arme utilisée serait une carabine à plomb.

L’individu ayant ouvert le feu a bien évidemment été interpellé (plusieurs jeunes menaçant de s’en prendre à lui après les tirs).

Si ce fait divers est tragique, et si personne ne doit se faire justice soi-même, le Maire de Beaucaire n’est pas du tout étonné par ces faits. Il les avait même prévus et anticipés il y a plus d’un an.

En juin 2015, il avait en effet signé un arrêté ordonnant à un certain nombre de commerces situés dans des petites rues étroites et résidentielles de fermer à 23h00 (dont précisément la rue comportant le commerce devant lequel s’est déroulé cet incident cette nuit vers 22h30).
Le Maire avait alors subi les foudres d’associations communautaristes, du conseil français du culte musulman, d’opposants politiques et de médias.

L’arrêté municipal avait ensuite été attaqué en justice par 6 commerçants prétendant qu’il n’y avait aucune nuisance devant leur commerce et que la motivation du Maire serait la discrimination.

Au contraire, on le voit concrètement ce soir, le Maire de Beaucaire avait simplement souhaité protéger chacun de ce type de drame en faisant respecter l’ordre public et en assurant la tranquillité pour les riverains, des honnêtes gens qui ont droit au sommeil.

À ce jour, la justice n’en a toujours pas terminé avec cette procédure et le Maire de Beaucaire sera à nouveau au Tribunal le 22 septembre pour islamophobie après que le SRPJ a été envoyé en Mairie pour une enquête complémentaire afin de savoir s’il y avait bien des plaintes de riverains pour des nuisances nocturnes.

Le Maire de Beaucaire tire à nouveau ce soir la sonnette d’alarme : Quand, enfin, la justice reconnaîtra-t-elle qu’avec ce type d’arrêtés, un Maire est dans son rôle ?
Les commerçants pourront-ils à nouveau après cet incident prétendre que les nuisances n’existent pas ?

En attendant que la justice valide les arrêtés municipaux du Maire et que l’Etat apporte le concours de la police nationale pour les faire appliquer, le Maire de Beaucaire souhaite un prompt rétablissement aux personnes blessées et appelle chacun à désormais respecter la tranquillité publique pour que ce type de drame ne se reproduise pas.

Dès ce vendredi 19 août, un nouvel arrêté tranquillité publique sera pris, interdisant cette fois l’ouverture des commerces dans ces rues après 22h30.
Dans l’intérêt de tous, il enjoint cette fois les commerçants concernés à ne pas se victimiser, à respecter les arrêtés et à faire preuve de responsabilité vis-à-vis de leur clientèle pour que la tranquillité et la sécurité publiques soient assurées.