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Pas touche à nos traditions !

Ce samedi 11 février, les défenseurs de la ruralité et de nos traditions s’étaient donné rendez-vous à Montpellier.
En effet, suite à une tribune d’une cinquantaine d’élus (pour la plupart de Montpellier et des environs) se disant écologistes et s’élevant contre nos traditions et en particulier contre la bouvine, 15 000 passionnés défenseurs de la ruralité et de nos traditions (de la course camarguaise comme de la tauromachie, de la chasse ou de la pêche) avaient fait le déplacement pour remplir les abords de la place de la Comédie dans une ambiance bon enfant et festive et exprimer leur ras-le-bol face à ceux qui prétendent interdire tout ce qui ne leur plait pas.

Le discours de la Reine d’Arles, évoquant avec talent, passion et attachement charnel nos traditions, fut particulièrement applaudi.

De nombreux élus du canton de Beaucaire et de ses abords avaient fait le déplacement : le Maire de Beaucaire Julien Sanchez et son conseiller municipal délégué à la course camarguaise, le député Yoann Gillet, le conseiller régional Gilles Donada, le conseiller départemental Jean-Pierre Fuster mais aussi le Maire de Fourques, celui de Tarascon ou encore le député Gardois Nicolas Meizonnet.
Absence notable dans cette manifestation transpartisane : celle de la présidente du conseil régional Carole Delga.

Le canton de Beaucaire était particulièrement présent grâce à la mobilisation de nombreux responsables ou adhérents des clubs taurins…
Le Club Taurin Beaucairois, soutenu pour cela financièrement par la Mairie de Beaucaire, avait d’ailleurs affrété deux cars pour l’occasion.

Pas touche à nos traditions !

 

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Les beaucairois ont mis leurs gilets jaunes

Samedi 17 novembre, de nombreux français se sont mobilisés à travers l’opération spontanée et apolitique des “gilets jaunes” partout en France. La contestation, au départ centrée sur la hausse des prix du carburant pour l’automobile, s’est élargie rapidement à la question du pouvoir d’achat des français.
Le ras-le-bol a mobilisé plusieurs centaines de milliers de compatriotes sur l’ensemble du territoire national.

De nombreux beaucairois se sont ainsi mobilisés pour se faire entendre du gouvernement en organisant des barrages filtrants aux différentes entrées de ville.
Point d’orgue de la mobilisation : un regroupement devant l’Hôtel de Ville à 10h30, suivi d’une marche pour rejoindre les manifestants Tarasconnais au milieu du Pont qui relie nos deux villes. Une démarche historique entre nos deux villes.

Une manifestation à laquelle M. le Maire a participé, aux côtés de son 1er adjoint et de plusieurs élus de la majorité, afin de soutenir la colère légitime des automobilistes français qui sont considérés comme des “vaches à lait” et pour soutenir tous ceux (de plus en plus nombreux) qui n’arrivent plus à vivre du fruit de leur travail, de leur retraite, etc.

A noter : Deux personnes ont été blessées sur le Pont de Tarascon-Beaucaire car un chauffard a délibérément foncé sur la foule. L’auteur des faits est déjà connu des services de police pour de très nombreux faits de délinquance et des faits plus graves (un multirécidiviste dont nous dirons simplement qu’il a un profil très habituel dans notre région et en France). Il a été arrêté et passera en comparution immédiate lundi.
Le Maire, présent au moment des faits, a témoigné dans cette affaire.
Les deux blessés sont hors de danger. La jeune femme la plus sérieusement blessée a pu être jointe par M. le Maire et remercie les Beaucairois de s’inquiéter pour elle.

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Sous-effectifs au collège Eugène Vigne : la municipalité soutient le mouvement !

En colère, les personnels du collège Eugène Vigne de Beaucaire, soutenus par des parents d’élèves, mais aussi par Julien Sanchez, Maire de Beaucaire, et Jean-Pierre Fuster, conseiller départemental, ont manifesté ce jeudi 15 février leur inquiétude sur la situation actuelle en terme de nombre de surveillants au sein de l’établissement.

Les élus de Beaucaire dénoncent, comme les personnels et les parents d’élèves, l’effectif restreint de surveillants (4 pour 550 élèves dont 300 demi-pensionnaires) dans cet établissement de qualité tant en terme d’enseignements que d’infrastructures.

Avec ces conditions de travail, un surveillant doit pouvoir, à lui seul, avoir l’œil sur plus d’une centaine d’élèves lors des récréations, des permanences d’études et des repas alors même que la cour est sur deux niveaux.
Une situation qui peut devenir davantage contraignante lors d’une absence pour maladie d’un des membres du personnel (les absences inférieures à 30 jours n’étant bien souvent pas remplacées).

En novembre dernier, une motion a été envoyée au directeur académique des services de l’Éducation Nationale du Gard, responsable de ces effectifs dans les collèges, afin que cet établissement puisse voir revus à la hausse ses effectifs de surveillants aujourd’hui insuffisants pour garantir pleinement la sécurité et l’encadrement des collégiens.

Chiffres à l’appui, les personnels pointent la différence de traitement entre certains collèges du département pourtant tous classés en zone d’éducation prioritaire (REP+).

Le Maire et le conseiller départemental du canton ont écrit au président du conseil départemental et à l’Education Nationale sur ce dossier afin de leur demander de se positionner et d’obtenir des éclaircissements.

Les élus de Beaucaire soutiennent les Policiers en colère

Dans toutes les villes de France dotées d’un commissariat de police nationale, les policiers manifestent depuis plusieurs jours (fait extrêmement rare) pour dénoncer leurs conditions de travail, les atteintes physiques de plus en plus graves commises à leur endroit ainsi que le manque de soutien de l’Etat.

Ce mercredi 26 octobre à midi, le Maire de Beaucaire, de nombreux élus de la majorité municipale, des agents de la Police Municipale de Beaucaire et des citoyens étaient présents devant le commissariat de Police Nationale de Tarascon-Beaucaire pour soutenir les policiers dans leur combat.

Nos policiers ne doivent plus être des cibles.
A l’heure où, en France, la délinquance est de plus en plus armée et de moins en moins incarcérée, nos policiers doivent pouvoir bénéficier de la présomption de légitime défense.

La suppression de plus de 12 500 postes de policiers et gendarmes sous le mandat de l’ancien Président de la République, le manque de moyens et de soutien et la politique pénale désastreuse actuels ont également été dénoncés à travers ce rassemblement qui s’est terminé par une Marseillaise devant le commissariat et par une marche dans Tarascon, Beaucaire n’ayant plus depuis de nombreuses années de commissariat de police nationale.

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